Mon livre : En finir avec la culture du viol

ISBN : 978-2-36383-247-4
Date de parution : 8 mars 2018
Nombre de pages : 180 pages
Prix : 12 euros

Mon premier livre est paru aux éditions les Petits Matins ! Vous pouvez le commander sur le site des Petits Matins.

Pour voir lire le sommaire, c’est par ici : En finir avec la culture du viol le 8 mars !

Pour consulter la bibliographie complète, c’est par là : Bibliographie de « En finir avec la culture du viol »

Rectificatif : quelques imprécisions ou erreurs se sont glissées dans mon livre.

Préface de Michelle Perrot, historienne et professeure émérite d’histoire contemporaine à l’université Paris-Diderot :
« Ce livre paraît au bon moment. D’une actualité brûlante, il propose une réflexion fondamentale pour nourrir les débats qui parcourent notre société. »

Vidéo de présentation : 

Résumé :
En France, chaque année, entre 60 000 et 100 000 femmes sont victimes de viol ou de tentative de viol. Environ 16 % des Françaises ont subi une telle agression au cours de leur vie. Et les viols ne représentent que la partie émergée d’un iceberg : celui des violences sexuelles. Chaque jour, que ce soit à la maison, au travail ou dans la rue, des femmes sont agressées sexuellement ou harcelées. Ces violences ont des conséquences graves : elles minent la confiance et limitent la liberté par la peur qu’elles instaurent. Elles constituent une atteinte aux droits et à la dignité des personnes et consolident la domination masculine.

Ces violences sexuelles n’apparaissent pas spontanément. Elles ne font pas non plus partie de la « nature humaine » ou de la « nature masculine ». Elles ont des causes sociales – impunité des agresseurs, idées reçues sur la sexualité – et ne sont donc pas une fatalité. C’est pourquoi il est important d’identifier les éléments culturels qui servent de justifications et de terreau à ces actes, afin de proposer des pistes qui permettront d’y mettre fin.

Nourri de notions nord-américaines développées depuis 40 ans et enfin rendues accessibles en France au grand public, s’appuyant sur nombre de situations concrètes, ce livre s’adresse à toutes celles et à tous ceux qui se sentent concernés par l’ampleur du problème et refusent que notre société se résigne à cette situation.

Dans la presse ou sur internet :

12/06/2019, Les Inrockuptibles, Pourquoi certains commentaires sur l’affaire Neymar relèvent de la culture du viol

11/06/2019, France TV Info, Viol : pourquoi a-t-on du mal à croire les victimes ?

Mai 2019, Sortir du Patriarcapitalisme, La culture du viol, une légitimation sociale des violences sexuelles

10/05/2019, Slate, Ces hommes incapables d’entendre un «non» féminin, ou la culture de l’insistance

27/03/2019, Le Courrier de Mantes, Noémie Renard veut enrayer la culture du viol et ses mythes

06/03/2019, Slate, On ne badine pas avec le consentement

Février 2019, Éduquer n°143, Violences sexuelles sur mineur·e·s : briser le tabou! En finir avec les préjugés

05/02/2019, Ma conférence Les Femmes toujours objet en 2019 à l’IUT Nancy-Charlemagne

15/01/2019, The Atypicals, J’ai lu » En finir avec la culture du viol » de Noémie Renard

14/12/2018, Slate, La liste de Noël féministe (pour combler toute la famille)

Décembre 2018, Le Partage, En finir avec la culture du viol (par Ana Minski)

05/10/2018, J’ai été ma propre route, Noémie Renard, En Finir Avec La Culture Du Viol

29/08/2018, Manifesto XXI, Parés À Débattre : 10 Essais À Lire Pour La Rentrée 2018

29/08/2018, Simonae, La Ressourcerie #1

13/06/2018, Parlons peu, mais parlons, Les idées reçues sur le vi*l

11/06/2018, Les Intelloes, La sélection littéraire de juin : cinq ouvrages tout terrain à lire avant l’été

16/05/2018 sur le site du Nouveau Magazine Littéraire : « La correctionnalisation empêche la reconnaissance du crime de viol »

13/05/2018, GQ, Revue de presse dominicale : des pizzas, des prêtres, et littéralement des montagnes de godemichets

11/05/2018, Recension par Martine Roffinella, Noémie Renard veut « En finir avec la culture du viol » (à lire aussi sur le site de la revue Genres)

10/05/2018, Les Couilles sur La Table, Qui sont les violeurs ?

05/05/2018, Révolution féministe, Le viol, instrument de contrôle des femmes

Mai 2018, Prostitution & Société, « La prostitution fait partie de la culture du viol »

26/04/2018 : Le Groupe F, Interview minute de Noémie Renard : « En finir avec la culture du viol »

25/04/2018 : Le Bon, la Brute et le Critique, En finir avec la culture du viol : Rencontre avec Noémie Renard

25/04/2018 : L’Influx, En finir avec la culture du viol, un livre engagé et engageant

25/04/2018 : ChEEk Magazine, Consentement sexuel : Noémie Renard dénonce les actes non désirés lors d’un rapport

24/04/2018 : Konbini News, « On ne devrait pas considérer que les femmes sont consentantes par défaut »

21/04/2018 : Le Bon, la Brute et le Critique, Critique croisée: En finir avec la culture du viol & Carnets d’une féministe rabat-joie

19/04/2018 : La poudre lit, épisode 28 Marlène Schiappa

10/04/2018 sur Féministes en tout genre :  Recensions d’ouvrages sur #BalanceTonPorc et #MeToo

08/04/2018 sur Chathain : En finir avec la culture du viol, Noémie Renard

27/03/2018 sur le site d’AIVI : « En finir avec la culture du viol », interview de Noémie Renard

18/03/2018 sur le site du Monde : La culture du viol, un concept pour en finir avec notre fatalisme

N°1493 de Politis Hebdo (7 mars 2018 – 14 mars 2018) :  C’est quoi, un « vrai viol » ?

12/03/2018 sur Entre les lignes, entre les mots : Les violences sexuelles, un phénomène massif et toléré socialement

08/03/2018 sur la chaîne d’Antitésie : Revue de « En finir avec la culture du viol »

08/03/2018 sur le site des Inrockuptibles : “Les agresseurs sexuels sont très généralement des ‘messieurs-tout-le-monde’ ” (article à lire aussi sur ChEEk Magazine)

07/03/2018 dans le Monde : « En finir avec la culture du viol », retour sur une réalité plurielle

07/03/2018 sur Telerama.fr : Journée internationale des droits des femmes : sept essais à lire pour les jours d’après (mention)

01/03/2018 sur Grazia.fr :  Culture du viol : « les violences sexuelles ont une origine culturelle »